pour les enfants qui ont du mal à lire ou qui n'aiment pas lire

Auteur/autrice : Jean-Claude Marguerite (Page 1 sur 4)

Écouter les Contes de ma mère L’Oye

Belle initiative de Patricia Saccaggi qui enregistre chaque jour un des Contes de ma mère l’Oye, en français d’aujourd’hui. Une façon agréable de redécouvrir Perrault, dans une version fluide et claire, complétée des « moralités » originelles. De 6 à 25 minutes pour renouer avec l’émerveillement des contes de fées. À écouter ici.

« Il estoit une fois… »

Post-face de l’édition numérique gratuite des Contes de ma mère l’Oye, en français d’aujourd’hui, à l’occasion du 326 anniversaire des contes de Perrault.

Le 11 janvier 1697 paraissaient les Histoires ou contes du temps passé, avec des moralités, dont le second titre, mentionné au dos de l’ouvrage, était Les Contes de ma mère l’Oye. Leur auteur est âgé de 67 ans et signe ce recueil sous le nom d’un de ses fils. Il faut dire que Charles Perrault est un homme de lettres réputé, connu pour être l’adversaire farouche de La Fontaine, Boileau et La Bruyère dans la querelle des Anciens et des Modernes qu’il a initiée. Après un succès éphémère auprès d’un public mondain, ces huit contes sombrent dans l’oubli.
Ce n’est que vers la seconde moitié du XIXe siècle que Les Contes de ma mère l’Oyerenouent avec la faveur des lecteurs, notamment avec l’édition illustrée par Gustave Doré, en 1861. Cependant, le texte a été remanié, la langue ayant trop évolué. Ainsi, les termes surannés se trouvent expliqués dans des notes en bas de page, mais aussi des personnages ou des détails ont été supprimés, ainsi que certaines « moralités », modifiées.
Une nouvelle adaptation est publiée en 1902, réalisée par Féron et calquée sur la précédente. Et, depuis, aucune autre. C’est désormais la version la plus commune en librairie.
Mais, cent vingt ans plus tard, la langue a de nouveau considérablement vieilli. Elle reste belle, agréable, mais aussi désuète, un peu lourde, parfois obscure. Elle n’est plus tout à fait la nôtre. Cette ancienneté ne la rend pas illisible pour un lecteur aguerri. Mais pour les autres ? Jeunes lecteurs. Parents et grands-parents en faisant la lecture, mais ne comprenant pas eux-mêmes un mot, une phrase, une allusion dont on leur réclame l’explication. Étrangers explorant ce singulier français.
D’ailleurs, à l’école, les études de texte qui en sont proposées s’attardent volontiers sur leurs tournures démodées et le vocabulaire obsolète. En privilégiant ainsi l’archéologie littéraire, cette approche laisse le souvenir très scolaire d’un texte peu engageant, d’un français difficile, réservé à d’autres, et de peu d’intérêt. Or, l’enjeu de ces contes n’est pas linguistique, leur lecture doit se faire au profit du sens.
Ces contes, Perrault ne les a pas inventés, il les a recueillis. S’il avait cité ses sources, il aurait été considéré comme le tout premier collecteur de traditions orales, bien que d’autres, avant lui, avaient transcrit certaines de ces histoires. Perrault a fixé, pour une classe plus bourgeoise que populaire, les contes que les mères-grands (ou l’emblématique mère l’Oye) racontaient aux enfants, ou qui se disaient lors des veillées. Et ses moralités en proposaient son interprétation, à la manière dont La Fontaine concluait ses Fables.
Ce recueil, à son tour, a formé la matière de la transmission des contes de fées, s’ouvrant à un public plus large. Ces textes ne sont pas pour autant figés. Ils ne constituent pas une fin, mais une invitation. La base d’une réflexion, l’occasion d’un débat, d’un dialogue lorsqu’ils sont lus aux enfants. Les jeunes lecteurs doivent être accompagnés dans la découverte des contes de fées, car l’apprentissage de la lecture ne se résume pas à décrypter des signes, mais bien à comprendre, à se construire.
La valeur des Contes de ma mère l’Oye n’est pas dans le divertissement.
Aussi, quand Hollywood pille notre patrimoine littéraire et le dénature pour le plier aux exigences de son commerce, il y a urgence à se souvenir que ces histoires sont l’héritage d’une longue tradition. Que ces contes de fées sont ancrés dans notre imaginaire collectif. Qu’ils sont indispensables à notre éveil, à l’apprentissage du monde et à la domestication de nos peurs.
Un seul exemple : en première lecture, il est tentant de déduire que Le Petit Chaperon rouge n’est qu’une mise en garde des jeunes filles envers les beaux parleurs. Et la fin heureuse des frères Grimm renforce cette perspective affadie. Pas dans le conte rapporté par Perrault, sa morale est sans équivoque. Avec lui, c’est le Loup qui gagne et qui s’en tire sans dommages, après avoir, littéralement, mené la jeune ingénue dans son lit, mais aussi après avoir tué sa grand-mère. Transposons ce conte en nous inspirant d’un sujet contemporain : le fanatisme, qu’il soit politique ou religieux. C’est bien d’endoctrinement dont il est question. Ce conte est nécessaire, car il s’adresse à tout jeune (« peu instruit encore des ruses de ce monde », insiste-t-il dans Le Chat botté), le plus tôt possible, pour le mettre en garde contre la docilité adolescente à épouser les thèses nouvelles, son aspiration naturelle à suivre son propre chemin, à considérer comme vérité toute découverte, à se laisser duper jusqu’à provoquer le malheur autour de soi.

En transcrivant des contes, Perrault a d’abord procédé à des regroupements, des arrangements. Ensuite, à plusieurs reprises, il est revenu sur son propre manuscrit pour l’alléger. Il a ôté des références à d’autres histoires, des détails superflus. Il aurait pu poursuivre dans cette voie, par exemple en modifiant le titre du conte Les Fées, puisqu’il n’en a conservé qu’une.
J’ai entrepris de les réécrire une première fois pour les enfants qui ont du mal à lire, selon des critères spécifiques aux difficultés d’apprentissage de la lecture. Après avoir ainsi déconstruit puis reconstruit plusieurs contes populaires, je me suis demandé ce qu’il adviendrait de ces jeunes lecteurs lorsqu’ils ouvriraient un « vrai » livre, à la recherche d’un autre conte de fées… L’écart m’a semblé tel que j’ai redouté qu’il les dissuade de persévérer. Il devenait urgent de dépoussiérer ces textes.
Je n’ai rien ajouté, j’ai usé d’analogies, j’ai préservé autant que possible le style classique, je n’ai supprimé que quelques termes ou simplifié des tournures complexes qui faisaient obstacle au plaisir de lire. Je n’ai pas déplacé ou remplacé un mot, corrigé les temps, ôté ou inséré une virgule sans me demander si c’était justifié, pertinent, vraiment nécessaire, si je restais fidèle à Perrault.
Cette démarche, je l’ai également appliquée à certains détails du texte, qui se rapportaient soit à des incohérences (la marraine de Cendrillon transforme la citrouille en carrosse dans la chambre de Cendrillon, située au grenier ; certains illustrateurs ont respecté cette instruction, quitte à représenter un carrosse miniature), ou encore des précisions inutiles (que nous apporte d’apprendre soudain qu’un frère du petit Poucet se nomme Pierrot et qu’il est « un peu rousseau » comme sa mère, informations étrangères à l’intrigue ?), voire d’une époque révolue (nos cuisiniers, même les plus élégants, ne portent plus une peau de bête sur la tête, en en laissant pendre la queue sur leur épaule, comme indiqué dans Riquet à la houppe).
En revanche, j’ai réintégré des éléments disparus lors de la dernière révision de ce recueil (comme la présence de la princesse dans le carrosse du Chat botté, ou les échanges de la princesse et du prince dans La Belle au bois dormant).
Et j’ai rétabli les morales.
Après ces remaniements, qui connaît bien Les Contes de ma mère l’Oye ne devrait pas être dépaysé. Mais ce n’est pas pour eux que j’ai osé cette actualisation.
L’imaginaire littéraire est un arbre charmant aux ramages fluctuants, mais l’arbre dépérit si l’on néglige ses racines. Si j’ai souhaité rendre ces contes de fées accessibles au plus grand nombre, c’est afin de restituer pleinement la force qui leur a permis de traverser le temps, cet élément essentiel qui nous touche intimement et qui est aussi l’âme de la littérature : la magie de l’émerveillement.

Jean-Claude Marguerite

Les Contes de ma mère l’Oye, nouvelle édition

Voici la nouvelle édition des Contes de ma mère l’Oye, en français d’aujourd’hui.
Le texte a été retravaillé par Jean-Claude Marguerite pour se rapprocher au plus près de la version originelle de Charles Perrault, en réintégrant l’intégralité des morales et certains éléments et personnages disparus au fil des ans. Nous avons tenu compte de vos remarques pour rendre la langue encore plus accessible à tous.
Publié en ePub dans DRM, et sous une nouvelle couverture, ce recueil est réellement accessible à tous, puisque désormais gratuit.

Librairie en pause

La librairie en ligne tout lire est actuellement en pause, pour des raisons techniques (le format de nos livres est peu pris en compte par les grandes plateformes de distribution). D’autres solutions sont à l’étude.
Les contes de ma mère l’Oie, en français d’aujourd’hui, sont en revanche toujours diffusés. Pendant la période de confinement, nous avons baissé son prix à 0,99€ (au lieu de 3,90€).
Ce recueil s’adresse aussi bien aux jeunes lecteurs qu’à leurs parents et grands-parents qui voudraient leur en faire la lecture (sans se heurter à des problèmes de vocabulaire ou de constructions de phrases complexes), qu’à tous lecteurs, y compris ceux qui débutent en français.

Gagnez Cendrillon avec Livres-Accès

Pendant tout le mois de septembre, “tous lire” s’associe à la librairie en ligne Livres-Accès qui offrira un exemplaire (pour les 25 premières commandes) de Cendrillon pour tout achat d’au moins 22€ TTC (hors frais de port) de livres adaptés.
Rendez-vous donc sur Livres-Accès pour découvrir les livres (papier et dorénavant numériques) adaptés aux différents troubles de l’enfant.

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Découvrir Cendrillon et la collection Premiers contes
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Pourquoi lire Le vilain petit canard ?

Vilain petit canard, nous l’avons tous été. Ou, du moins, nous avons pensé l’être. Eh puis, nous nous en sommes sortis. Nous avons grandi, nous avons compris que le monde ne nous était pas hostile. Mais, vilain petit canard, certains le restent toute leur enfance – des enfants différents, affligés d’une différence chaque jour remarquée, jamais pardonnée. Comment s’en sortent-ils ? Comment peuvent-ils supporter moqueries, vexations, coups ? Comment peuvent-ils puiser la force d’être soi, alors que leurs limites, quotidiennement dénoncées, deviennent des tares à leurs propres yeux ?

Cette fable autobiographique est un message d’espoir, une invitation puissante à ne pas baisser les bras, à s’accepter. Toute l’intelligence d’Andersen réside dans l’opposition de la souffrance du caneton et de la vision du monde étriquée de ses harceleurs. Dès les premières lignes, il pose tout l’enjeu de son conte : pour la mère cane, le monde est vaste, il va jusque chez le voisin – mais jamais elle n’a été aussi loin…

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Dans la collection PREMIERS CONTES, illustrés des œuvres de Theo van Hoytema

Andersen offre une solution qui semble vouée à l’échec, la fuite. Le vilain petit canard s’échappe de la ferme et affronte la solitude, la rigueur de l’hiver, d’autres moqueries, d’autres coups. Pire encore, il découvre la beauté, la grâce, la splendide liberté des cygnes… Des cygnes sauvages, plus précisément. Une fascination douloureuse, tant le contraste entre sa condition et leur stupéfiante beauté le meurtrit.

Sauvage s’oppose ici à la basse-cour civilisée (avec sa pyramide hiérarchique et ses querelles pour une tête de poisson), aux sages qui pérorent dans leur cabane d’ermites (où un chat et une poule se croient chacun la moitié du monde), aux rebelles qui vivent en marge de la société (des jars que les chasseurs déciment), aux bons Samaritains qui le recueillent mais le conspuent parce qu’il se montre trop craintif…

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Mais voilà que survient le printemps. Le vilain canard n’est plus petit. Il n’en est pas soulagé. Au contraire : le retour des cygnes sauvages le pousse au désespoir. Négligeant la renaissance de la Nature, il va à leur rencontre – et ces merveilleux oiseaux l’accueillent, comme l’un des leurs, et le saluent, comme le plus beau de tous.

Cette fin n’est pas tout. Le jeune cygne ne tire nul orgueil de cette reconnaissance ni aucun souhait de vengeance. Il est heureux. Tout simplement heureux d’être soi.

Le vilain petit canard, un conte de Andersen, adapté par Jean-Claude Marguerite, illustré par Théo van Hoytema, paru dans la collection PREMIERS CONTES.

Les Contes de Perrault pour Kindle

Les Kindle supportant désormais la police OpenDyslexic (et acceptant le format horizontal), nous avons édité une version « spéciale Kindle » des Contes de ma mère l’Oie en français d’aujourd’hui (disponible dans notre librairie en ligne ou sur Amazon).

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Cette version peut se lire sur un smartphone (en mode paysage, le format est aussi large qu’un livre de poche) , une tablette ou une liseuse.

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Présentation sur un Smartphone “grand écran”

Les Contes de ma mère l’Oie en français d’aujourd’hui s’adressent également aux étrangers cherchant à découvrir les classiques de langue française, aux parents et grands-parents désireux de lire Perrault à leurs enfants sans buter sur les mots. Ils existent également en format ePub.

13/11/15

Ne voir dans les contes de fées qu’un divertissement est une erreur. Issus de la tradition orale, ils se sont perpétués parce qu’ils nous aident à réfléchir. Ils le font d’une manière simple, mnémotechnique, en proposant des jalons faciles à retenir, des analogies si extravagantes qu’elles peuvent être adaptées à chaque situation.
N’oublions pas que les contes partagent également cette particularité d’avoir été nos premières lectures – des lectures qui nous ont été faites. Parent ou maître, une personne en qui nous avions confiance, nous a invité à arrêter nos activités, à nous asseoir, à rester calme, à écouter. Il a pris un livre, l’a ouvert, l’a observé, a commencé à lire, lentement. Le moment était important, nous le savions. Une porte s’est alors ouverte sur un monde, infiniment renouvelé.
Plus tard, nous avons pensé avoir tout oublié, ou n’en avoir retenu que de rares bribes enfantines. Mais toutes ces histoires 
nous habitent encore, elles n’ont jamais disparu. Elles ont contribué à façonner progressivement notre perception du monde. Si nous acceptons assez volontiers l’idée que les contes de fées nous aident à domestiquer nos peurs, nous devons reconnaître qu’ils font bien plus que cela. Les contes nous aident à penser le monde, et à y trouver notre chemin.
Ainsi, le Loup du Petit Chaperon rouge peut prendre bien des aspects, comme il peut tenir bien des discours. Les jeunes filles naïves ne sont pas les seules à se faire prendre, à négliger les mises en garde, à trahir les leurs, à se livrer, corps et âme… Bien des garçons gagneraient à se souvenir de ce conte quand, loin des leurs et sans repères, ils rencontrent un beau parleur qui les invite à se glisser vaillamment dans le linceul de ses mensonges.
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J’ai passé ces terribles journées en me répétant que mes enfants sont en danger, et que je n’y peux rien. Mais je me suis trompé. Si je ne peux pas empêcher un homme d’attenter à leur vie, je peux essayer d’empêcher un enfant de devenir cet homme.
Du conte de fées au roman, je ne connais pas de meilleures ouvertures pour y parvenir.
Jean-Claude Marguerite

Nouveautés : Le petit Poucet et le vilain petit canard

Alors que le Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil (2-7 décembre) est en approche (nous y serons représentés sur le stand de Livres Accès, N° B29), nous proposons deux nouveaux titres dans la collection PREMIERS CONTES :

Le petit Poucet et Le Vilain petit canard

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Dès les premières lignes, Andersen pose dans cette fable autobiographique tout l’enjeu de son conte : pour la mère cane, le monde est vaste, il va jusque chez le voisin – mais jamais elle n’a été aussi loin… Le vilain petit canard va s’échapper de la basse-cour, affronter la rigueur de l’hiver, être moqué et chassé, admirer les cygnes sauvages et perdre tout espoir. Mais au printemps, il découvre sa vraie nature et sa place dans le monde, et les enfants comme les siens l’admirent.

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Les petits cailloux blancs, l’ogre, les bottes de sept lieues : Le petit Poucet est l’un des contes les plus emblématiques de Charles Perrault. La morale finale, à la gloire du plus petit d’une fratrie, ne doit pas effacer l’importance de celle esquissée au début : le petit Poucet est méprisé par ses frères parce qu’il parle peu – mais il écoute beaucoup. C’est grâce à cette réserve que, lorsque ses frères tremblent, dorment ou se sauvent, le petit Poucet agit.

Ces deux contes majeurs dans l’imaginaire littéraire, fidèlement adaptés pour les jeunes lecteurs en difficulté d’apprentissage, enrichissent la collection PREMIERS CONTES où trois présentations du même texte se succèdent, selon les publics concernés : une présentation “DYS”, la même avec les syllabes orales colorées et les liaisons principales signalées, et enfin en grands caractères.

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À l’occasion de la publication de deux nouveaux titres dans la, nous avons porté quelques améliorations sur les titres déjà parus, notamment dans la signalisation des liaisons. Désormais, les muettes qui imposent une liaison sont colorées en noir, comme la ponctuation et les chiffres,  les autres muettes restant grisées.
Vous pouvez télécharger à nouveau ces versions, gracieusement, sur notre librairie en ligne.

Nous rappelons enfin la parution récente des Contes de ma mère l’Oie, en français d’aujourd’hui, destinés à des lecteurs débutants (scolaires, FLE) ou à être lus aux enfants. Les contes ont été très fidèlement retranscrits dans une langue accessible tout en restant soutenue.

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Les Contes de ma mère l’oie, en français d’aujourd’hui, est disponible en ePub et pour Kindle.

Cendrillon, un extrait de bonté

Pour vous permettre de découvrir la collection PREMIERS CONTES, nous avons le plaisir de vous offrir ici des extraits de Cendrillon, en PDF interactif.

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Ces larges extraits vous permettrons de juger de l’intérêt de notre démarche envers les enfants qui ont du mal à lire ou qui n’aiment pas lire. Il se compose de quelques pages du texte et des illustrations dans chacune des trois présentations propres à cette collection (pour les “DYS”, en syllabes colorées et en grands caractères).

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Par ailleurs, pour accompagner la parution de 2 nouveaux titres, cette collection sera à prix réduit (4,99 € pour les 2 versions, PDF interactif et PDF imprimable)  jusqu’au 30  septembre 2015, exclusivement sur notre librairie en ligne.

Les premiers titres

Les trois premiers titres, déjà disponibles exclusivement sur notre librairie en ligne :

Cendrillon
(d’après Charles Perrault, illustré par Arthur Rackham)

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Boucle d’Or et les 3 ours
(d’après les frères Grimm, illustré par Leonard Leslie Brook)

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Les Musiciens de Brême
(d’après les frères Grimm, illustré par Oskar Herrfurth)

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À venir en septembre…

Le vilain petit canard
Le Petit Poucet

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